Et si demain, ce n’était plus Google ou les influenceurs qui orientaient vos décisions d’achat, mais ChatGPT ou Gemini ? Eh bien, c’est déjà en partie le cas.
D’après une étude YouGov menée auprès de 1 000 consommateurs américains, 66 % des 18-24 ans et 51 % des 25-34 ans utilisent désormais les IA génératives pour obtenir des recommandations sur des marques ou des produits. Face à ce basculement, certaines entreprises développent des outils pour comprendre et optimiser la manière dont ces IA perçoivent les marques et leur entreprise. L’idée : interroger des modèles comme GPT-4 ou Claude des milliers de fois, sous différents angles, pour analyser ce qu’ils disent d’une marque, comment ils la positionnent par rapport à ses concurrents, et avec quels arguments.
Enseignements clés
- L’IA générative devient un nouveau média et comme tout média, elle influence, oriente et façonne l’information. Les annonceurs doivent s’assurer que les LLM disposent des “bonnes” informations (fiables, précises et à jour) au sujet de leur marque et de leur organisation.
- À l’heure où la majorité des jeunes consommateurs se fient aux recommandations d’IA générative pour leurs achats, la manière dont les marques sont perçues va dépendre (et dépend déjà) de plus en plus de ces assistants conversationnels IA.
- Les entreprises doivent désormais documenter et structurer leurs contenus en ligne de manière à être bien interprétées et référencées par les IA conversationnelles.
- Le référencement entre désormais dans une nouvelle ère : celle du Generative Engine Optimization, aussi appelé LLMO (Large Language Models Optimization).
En savoir plus : https://www.mind.eu.com/media/marques-agences/comment-jellyfish-aide-les-annonceurs-a-ameliorer-la-perception-de-leur-marque-par-les-llm/